Blow mad killer Jason Voorhees to smithereens in the opening sequence of the movie? Sorry, folks, you have to do better than that. Jason's evil spirit finds its way into a series of host bodies, thus continuing the carnage at Crystal Lake, in Jason Goes to Hell: The Final Friday. Naturally, part 9 is not the final Friday the 13th movie (no big deal: part 4, you'll recall, was titled The Final Chapter). Jason confronts a long-lost sister at the lake, while the usual assortment of naked teens are dispatched. This one tries to vary the formula a bit but ends up with a story line every bit as nonsensical as those that came before. The final sequence tries to put Jason away for keeps and calls upon the demons of hell for support. The last shot is an outrageous joke, which is perhaps what this franchise deserves.
Amateur butcher and enthusiastic hockey fan Jason Vorhees is back in business, and business is good. Can a plucky young boy stop the madness before Camp Crystal Lake's population report takes yet another machete-aided dip? The stalk-and-slash formula was pretty narcoleptic by this point, but this otherwise humdrum entry is distinguished by some unusual casting choices (Crispin Glover as a stud in training? Corey Feldman as a genius?) and the splattery return of makeup master Tom Savini. The fact that this installment was titled The Final Chapter may seem to contradict the existence of the numerous sequels that followed, but it's not as if logic was ever this series' strong point to begin with
The tender, tragic saga of Jason Vorhees, the world's unhappiest camper, continues when yet another batch of hormonally advanced teens decide to ignore past history and spend some time at the woodsy, pine-scented slaughterhouse known as Camp Crystal Lake. It may be a bit of a stretch to describe any of the entries in this interminable series as good, but this creatively grotesque installment manages to come surprisingly close with a welcome sense of humor and some quick glimmers of real menace (courtesy of director Steve Miner, who would later go on to helm the far more accomplished Halloween: H20).
Full of pride, Cassiopeia compares her daughter's beauty to that of Hera. Angered, the queen of the gods has Poseidon unleash the monstrous beast Craken to destroy their village unless Cassiopeia's daughter, Andromeda, is sacrificed. Perseus, the son of Zeus, becomes enchanted with the breathtaking beauty and is determined to save her from this fate. The young hero, armed with a magical shield, a winged stallion and a mechanical ostrich, discovers the only way to defeat the monster is with the head of Medusa. The gods watch and intervene on Perseus' quest to save his beloved. This was legendary special effects wizard Ray Harryhausen's last film before he retired from creating movie magic. L.A. LAW's Harry Hamlin stars as the Greek mythological hero Perseus who fights snake-haired Medusa and two-headed dogs to save the lovely Andromeda (Judi Bowker). Laurence Olivier, as Zeus, is one of the many screen legends in this adventure. Burgess Meredith, Claire Bloom, Maggie Smith and Ursula Andress round out the cast as the Gods of Mount Olympus. Director Desmond Davis was camera operator on TOM JONES and A TASTE OF HONEY, two influential early 1960s British films. Writer Beverly Cross was one of the writers on 1963's Ray Harryhausen film, JASON AND THE ARGONAUTS.
Est-ce dû à sa provenance, l'Australie ? Le premier de la série des Mad Max est d'un hiératisme qui fait passer le sable du désert sillonné par Mel Gibson pour un fanfaron. Le faible budget du film explique bien sûr en partie son délectable dépouillement, ainsi qu'un scénario peu excessif dans ses développements. Mais ce qui fait d'abord sortir l'?uvre de l'écran est le jeu d'un Mel Gibson pré-Arme fatale, digne et contenu donc, peu encombré par ses répliques monosyllabiques, et d'abord occupé à actionner le compresseur volumétrique de son Interceptor. Lancé sur des routes sans horizon, il suit sous les yeux ravis d'un spectateur, par ailleurs habitué aux choses hollywoodiennes, un parcours personnel travail (police de la route dans l'Australie postapocalyptique, pas glamour)-famille (une jeune et jolie femme, mère d'un jeune et vigoureux bébé)-vengeance (ces charognes pleureront des larmes de sang) visible et revisible sans fin. À l'inverse de ses suites trop assujetties aux modes de leur époque, le premier Mad Max supporte son âge, les histoires de flics vengeurs en tire gonflée, à la poursuite de motards crasseux pour les brûler vif (où leur rouler dessus quand ils laissent tomber la cérémonie), s'avérant être très atemporelles. Les gros plans sur le moteur proéminent de la voiture de Max comme principale idée de mise en scène, le film évite les débordements précieux que le genre devrait consentir au public familial une fois récupéré par Hollywood. Et puis, le look cuir-bottes-Ray Ban de Mel Gibson garçonnet (vingt-trois ans) a marqué au point de faire la gloire de tous les minets rock des années 80, Billy Idol en tête. Mais, quand celui-ci et ses collègues se sont couverts de ridicule, Max en rajoute dans le côté aride, aride, aride du meilleur rôle de son interprète. --Florian Pittion
Sur une île forteresse au large de Hong Kong, l'académie des arts martiaux de l'inquiétant HAN sert de couverture à un commerce d'opium clandestin et à un réseau de prostitution internationale. Chargé de démasquer l'organisation, LEE accepte de participer à un tournoi organiser par l'académie afin de s'y infiltrer...
En suivant scrupuleusement le célèbre roman de Herbert George Wells mais avec la connaissance des événements historiques survenus jusqu'en 1960, année de réalisation du film, George Pal emmène son voyageur temporel de l'année 1899 à l'année 802701(!) en le faisant passer successivement par la première, la deuxième et même la troisième guerre mondiale... Les amateurs de science-fiction ne peuvent qu'aimer et admirer le travail de George Pal : le charme victorien de sa machine à explorer le temps est intact, quelque 40 années après. Le rôle principal est impeccablement tenu par Rod Taylor, archétype du héros des sixties : il a la prestance, le charme et la classe qui sied à son personnage d'aristocrate scientifique aux prises avec l'inconnu ; enfin, les effets spéciaux réellement impressionnants pour l'époque furent récompensés par un oscar...